dimanche 22 juillet 2018

Donald Trump est le pantin de Vladimir Poutine

Chères amies, chers amis,

Cela peut paraître choquant, mais il est désormais clair que Donald Trump est le pantin de Vladimir Poutine.

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Nous devons faire comprendre au monde entier pourquoi, avant qu’il ne soit trop tard…

Dans les années 1990, les entreprises de Trump ont fait si souvent faillite que de nombreuses grandes banques ne voulaient plus lui accorder de prêts. Il s’est alors tourné vers de douteux oligarques russes -- pour financer ses projets, et a blanchi leur argent sale. Cela a été et continue d’être une grande partie de son activité. Trump blanchit de l’argent russe.

"Nous n’avons pas besoin de banques américaines. Nous avons tous les financements nécessaires venant de Russie."

Donald Trump JR, 2014

Ce n’est ni une hypothèse, ni une exagération. Il y a énormément de preuves. Paul Manafort, l’ancien directeur de campagne de Trump, entretient des liens étroits avec les oligarques russes et est actuellement en prison en attendant son jugement portant, entre autres chefs d’accusation, sur du blanchiment d’argent!

Voici 5 faits supplémentaires que tout le monde devrait connaître à propos de la collusion de longue date qu’entretient Trump avec des criminels organisés russes. Faites circuler ce message et partagez-le sur Facebook -- nous avons tous droit à la vérité:

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1

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Le principal bailleur de fonds de la Trump Tower de Toronto était un milliardaire russo-canadien qui a financé cet investissement grâce à la vente d’une gigantesque aciérie en Ukraine pour près d'un milliard de dollars. De cette somme, 100 millions ont été versés à un intermédiaire soutenu par le Kremlin: vraisemblablement un pot-de-vin pour de TRÈS hauts responsables russes. Le Président du Conseil d’administration de la banque qui avait financé l’opération? Vladimir Poutine.

2

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Trump a acheté sa propriété de Palm Beach pour 41 millions de dollars. Quelques années plus tard, et sans réelle augmentation de sa valeur immobilière, il l’a vendue pour 95 millions -- la propriété la plus chère des États-Unis au moment de l’opération! Pourquoi? Elle a été rachetée par un oligarque russe de premier plan -- nous ne savons pas encore pourquoi dans les faits, cet homme a “donné” 54 millions de dollars à Donald Trump. Mais c’est une pratique courante pour blanchir de l’argent.

3

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Les opérations immobilières de Trump ont souvent été financées par de l’argent russe, et typiquement réalisées à travers d’opaques compagnies écrans. 77% des appartements de l’hôtel Trump Soho à New York ont été achetés en liquide par de telles entreprises mystérieuses. Au moins 13 personnes en lien avec des oligarques ou des gangsters russes ont habité dans les propriétés de Trump, dont un des plus grands gangsters de Russie. L’un d’eux tenait même un cercle de jeu illégal et très lucratif dans l’appartement situé juste en dessous de celui de Trump!

"On retrouve des Russes dans une partie assez disproportionnée de tous nos biens"

Donald Trump JR, 2008

4

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Pendant plusieurs années, l’intermédiaire financier et “conseiller senior” de Trump était un criminel russe dénommé Felix Sater, célèbre pour être une figure de la mafia ayant un jour poignardé quelqu’un dans la figure avec un verre de margarita cassé, lui valant 100 points de suture. Sater a plus tard aidé à monter des compagnies écrans et organisé le financement des projets de Trump, dont les plans pour la Trump Tower de Moscou. Il fait aussi partie du premier cercle de Poutine. Voici un email qu’il a un jour écrit à Michael Cohen, l’avocat de Trump, en novembre 2015:

"Michael, je me suis arrangé pour qu’Ivanka puisse s’asseoir sur le fauteuil privé de Poutine dans son bureau du Kremlin. Je vais faire en sorte que Poutine fasse partie du programme et nous allons faire élire Donald. Nous savons tous les deux que personne d’autre ne peut le faire sans être gêné par la bêtise ou l’appât du gain. Moi je sais comment le faire et nous le ferons. Mon gars, notre bonhomme peut devenir Président des États-Unis et nous pouvons nous en assurer. Je vais vendre ça à toutes les équipes de Poutine, je vais le faire."

New York Times, 27 août 2017

5

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L’autre principale activité de Trump, ce sont les casinos -- un grand classique du blanchiment d’argent. Il est établi qu’un des casinos de Trump a violé à 100 reprises les lois fédérales sur la protection contre le blanchiment d’argent et payé la plus grande amende de l’Histoire jamais reçue par un casino pour avoir “violé en toute connaissance de cause” les règles de prévention du blanchiment d’argent. Trump est soumis à l’obligation légale de “diligence raisonnable” pour toutes ses entreprises afin d’éviter de blanchir de l’argent sale. Sur ce point, un haut responsable d’une entreprise de Trump a déclaré: “Donald ne fait pas de diligence raisonnable”.

Le contexte

Vladimir Poutine est un ancien officier du KGB qui a utilisé des armes chimiques, assassiné des gens dans d’autres pays, envahi l’Ukraine, occupé la Crimée, abattu l’avion de ligne MH17 avec presque 300 passagers à son bord, soutenu un régime meurtrier en Syrie, cautionné violences et torture contre les homosexuels, volé jusqu'à 200 milliards de dollars, interféré dans des élections étrangères et déclenché ce que l’OTAN appelle la plus grande campagne de guerre hybride de l’Histoire pour saper les démocraties libérales occidentales. Il est également communément accusé d'avoir ordonné le meurtre de journalistes et d’opposants russes, et placé des bombes ayant entraîné la mort de centaines de civils russes pour simuler de fausses attaques terroristes et justifier la guerre en Tchétchénie.

Et pourtant, lorsque la question lui a été posée en conférence de presse, Donald Trump a répondu n’en avoir aucune critique à formuler sur Poutine, avant de tourner en ridicule les services juridiques des États-Unis pour leur enquête sur les offensives russes contre la démocratie américaine!

Pourquoi? Trump travaille pour des proches corrompus de Vladimir Poutine depuis près de 20 ans. Et c’est ce même groupe de personnes qui promet d’assurer sa fortune pour les 20 prochaines années (il a refusé de céder ses entreprises en prenant ses fonctions de Président des États-Unis, en violation de toute règle éthique).

Trump est *peut-être* un agent de renseignement à la solde des russes, il a *peut-être* conspiré avec Poutine pour saboter les élections américaines. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il est corrompu, blanchit de l’argent russe, et que Vladimir Poutine, un dictateur du KGB, l’a à la bonne. Le monde entier doit être au courant, et se rassembler pour empêcher le désastre que cette alliance laisse présager. Partagez cet email tout autour de vous…

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Avec espoir,

Ricken, Emma, Rewan, Joseph, Morgan, Spyro, Flora et toute l’équipe d’Avaaz et toute l’équipe d’Avaaz

PS -- Jetez donc un coup d’oeil ci-dessous pour découvrir des TONNES de sources crédibles, dignes de foi et vérifiées pour tous les faits présentés dans cet email. Toutes nos excuses pour le fait qu'elles soient surtout en anglais! Avaaz n’est pas un média absurde diffusant des mensonges à la ronde pour faire de l’argent -- nous sommes une organisation sans but lucratif et chaque fois que nous faisons une erreur, nous publions une correction sur notre page d’engagement à l’exactitude, accessible sur la page d'accueil de notre site.

PPS -- Si vous trouvez qu’accuser Trump de “blanchiment de capitaux pour le crime organisé” est exagéré, considérez que c’est juste la partie visible de l’iceberg de ce qui est connu de la corruption de Donald Trump:

  • Sa “fondation caritative” est probablement sur le point de fermer pour de nombreux cas de fraude.
  • Son “université” a trompé de nombreux jeunes vulnérables en leur soutirant de l’argent.
  • Il a eu une liaison avec une actrice de films pornographiques et l’a payée en échange de son silence -- elle a déclaré avoir également été menacée de violences physiques.
  • Dans des documents produits devant un tribunal, son ex-femme a révélé qu’il l’a brutalement violée en lui arrachant les cheveux parce qu’il n’aimait pas le spécialiste capillaire qu’elle lui recommandait.
  • Il s’est vanté devant les caméras d’avoir agressé sexuellement plusieurs femmes.
  • Des centaines d’employés de Trump ont témoigné qu’il décidait parfois de ne pas les payer. Plongeurs dans des restaurants, peintres ou serveurs, certains travaillaient pour le salaire minimum.
  • Il a été attaqué en justice et obligé de payer des compensations, à plus de cent reprises.

Trump n’est pas le diable -- il est un être humain, et comme tout un chacun a des qualités et des opinions légitimes. Mais quiconque nierait qu’il est profondément corrompu choisit tout bonnement d’ignorer les faits exposés ci-dessus. Pour comprendre Trump et protéger notre monde de son influence, nous devons comprendre sa corruption.

POUR PLUS D’INFORMATIONS

Donald Trump, le pantin de Poutine (Slate.fr)

http://www.slate.fr/story/120823/trump-pantin-poutine

Ces oligarques russes qui font les bonnes affaires de Trump (L’Obs)

https://www.nouvelobs.com/monde/l-amerique-selon-trump/20170330.OBS7305/ces-oligarques-russes-qui-font-les-bonnes-affaires-de-trump.html

USA: Deutsche Bank sommée de faire la lumière sur des liens Trump-Russie (Le Parisien)

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/usa-deutsche-bank-sommee-de-faire-la-lumiere-sur-des-liens-trump-russie-24-05-2017-6981021.php

Comment Trump a été sauvé de la faillite par Rybolovlev, l’oligarque russe de Monaco (Le Journal du Dimanche)

https://www.lejdd.fr/societe/monaco-rybolovlev-loligarque-russe-qui-a-sauve-trump-de-la-faillite-3577355

Villa luxueuse, jet privé et Poutine(?)... Trump-Rybolovlev, le tandem qui affole les États-Unis (20 minutes)

https://www.20minutes.fr/sport/2030351-20170314-villa-luxueuse-jet-prive-poutine-trump-rybolovlev-tandem-affole-etats-unis

Le groupe Trump négociait un projet immobilier à Moscou durant la campagne (La Presse)

http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201708/28/01-5128347-le-groupe-trump-negociait-un-projet-immobilier-a-moscou-durant-la-campagne.php

États-Unis: un juge rend une partie du dossier "Trump University" public (RFI)

http://www.rfi.fr/ameriques/20160602-etats-unis-universite-trump-escroquerie-justice-revelation-documents

L’actrice de films pornographiques Stormy Daniels avait "peur" de dévoiler sa relation avec Trump (Le Monde)

https://www.lemonde.fr/donald-trump/article/2018/03/26/l-actrice-porno-stormy-daniels-avait-peur-de-devoiler-sa-relation-avec-trump_5276250_4853715.html

Les propos obscènes de Donald Trump envers les femmes dans une vidéo de 2005 (L’Express)

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/les-propos-obscenes-de-donald-trump-envers-les-femmes-dans-une-video-de-2005_1839120.html

Trump aurait utilisé sa fondation caritative à des fins personnelles (La Presse)

http://www.lapresse.ca/international/dossiers/maison-blanche-2016/201609/20/01-5022441-trump-aurait-utilise-sa-fondation-caritative-a-des-fins-personnelles.php

Que s’est-il vraiment passé entre Ivana et Donald Trump? (Marie Claire)

https://www.marieclaire.fr/,que-s-est-il-vraiment-passe-entre-ivana-et-donald-trump,842929.asp

PLUS D’INFORMATIONS EN ANGLAIS

Le lavomatic russe de Trump (The New Republic)

https://newrepublic.com/article/143586/trumps-russian-laundromat-trump-tower-luxury-high-rises-dirty-money-international-crime-syndicate

Tout ce que nous savons à propos de la Russie et du Président Trump (Committee to Investigate Russia)

https://investigaterussia.org/timelines/everything-we-know-about-russia-and-president-trump

Les connexions russes de Trump (Financial Times)

https://ig.ft.com/sites/trumps-russian-connections/

Argent sale: Trump et la connexion Kazakh (Financial Times)

https://www.ft.com/content/33285dfa-9231-11e6-8df8-d3778b55a923

Il y a une dizaine d’années, le fils aîné de Trump déclarait qu’une grande partie de la fortune familiale venait de Russie (Business Insider)

http://www.businessinsider.com/donald-trump-jr-said-money-pouring-in-from-russia-2018-2

Des ventes de propriétés appartenant à Trump suggèrent des opérations de blanchiment d’argent (Reuters)

https://uk.reuters.com/article/uk-usa-trump-russia-fusion/sales-of-trump-properties-suggestive-of-money-laundering-researcher-idUKKBN1F8058

La Tour des secrets: l’argent russe derrière un gratte-ciel de Donald Trump (Financial Times)

https://www.ft.com/trumptoronto

La Trump Tower de Toronto était “un projet d’investissement et une conspiration”: procès (Huffington Post)

https://www.huffingtonpost.ca/2016/11/07/trump-tower-toronto-lawsuit_n_12849150.html?guccounter=1

Si Trump blanchit de l’argent russe, voilà comment cela se passe (Wired)

https://www.wired.com/story/if-trump-is-laundering-russian-money-heres-how-it-works/

Le casino de Trump éveillait des soupçons de blanchiment d’argent peu après son ouverture (CNN)

https://edition.cnn.com/2017/05/22/politics/trump-taj-mahal/index.html

Donald Trump et la villa que personne ne voulait. Et puis, un magnat russe des engrais est arrivé (Miami Herald)

https://www.miamiherald.com/news/business/article135187364.html

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir au sujet des banqueroutes de Donald Trump (CNN)

https://money.cnn.com/2015/08/31/news/companies/donald-trump-bankruptcy/

La Haute Cour du Canada maintient son jugement selon lequel Donald Trump a trompé des investisseurs (The Independent)

https://www.independent.co.uk/news/world/americas/donald-trump-lawsuit-canada-court-approves-legal-case-against-us-president-a7623566.html

L’élite russe a investi près de 100 millions de dollars dans les projets immobiliers de Trump (Reuters)

https://www.reuters.com/investigates/special-report/usa-trump-property/

Pourquoi un russe a-t-il payé 95 millions de dollars pour la villa de Trump à Palm Beach? (The Seattle Times)

https://www.seattletimes.com/nation-world/why-did-a-russian-pay-95m-to-buy-trumps-palm-beach-mansion/

L’enquête russe et Donald Trump: toutes les étapes, selon des sources officielles (mis à jour) (Politifact)

http://www.politifact.com/truth-o-meter/article/2018/jul/16/russia-investigation-donald-trump-timeline-updated/

Voici 10 opposants à Vladimir Poutine morts de mort violente ou de manière suspicieuse (Washington Post)

https://www.washingtonpost.com/news/worldviews/wp/2017/03/23/here-are-ten-critics-of-vladimir-putin-who-died-violently-or-in-suspicious-ways/?noredirect=on&utm_term=.8507f77dfcb1

Une brève histoire des tentatives d’empoisonnement russes (Foreign Policy)

https://foreignpolicy.com/2018/03/09/a-brief-history-of-attempted-russian-assassinations-by-poison/

Cour pénale internationale: l’invasion de l’Ukraine par la Russie est un “crime”, pas une “guerre civile” (Forbes)

https://www.forbes.com/sites/paulroderickgregory/2016/11/20/international-criminal-court-russias-invasion-of-ukraine-is-a-crime-not-a-civil-war/#1cf1ce247ddb

La pire affaire de Donald Trump: le Président a participé à la construction d’un hôtel en Azerbaïdjan qui semble être une opération menée par des oligarques liés aux Gardes révolutionnaires iraniens (The New Yorker)

https://www.newyorker.com/magazine/2017/03/13/donald-trumps-worst-deal

Le business de la corruption de Trump (The New Yorker)

https://www.newyorker.com/magazine/2017/08/21/trumps-business-of-corruption

L’avocat de Trump a été “payé par l’Ukraine” pour des prises de parole à la Maison Blanche (BBC)

https://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-44215656

Après être devenu Président, Trump a passé des contrats secrets pour vendre des propriétés pour des millions de dollars (Newsweek)

https://www.newsweek.com/trump-real-estate-secret-buyers-777276

Quels étaient les liens de Donald Trump avec la mafia? (Politico)

https://www.politico.com/magazine/story/2016/05/donald-trump-2016-mob-organized-crime-213910

Un avocat russe ayant participé à la fameuse réunion de la Trump Tower admet être un informateur pour le Kremlin (CNBC)

https://www.cnbc.com/2018/04/27/emails-show-new-ties-between-trump-tower-russian-and-kremlin-nbc.html

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mardi 2 juin 2015

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Somewhere in Reunion Island

The Campus Crusaders - NYTimes.com

The Campus Crusaders

Every generation has an opportunity to change the world. Right now, college campuses around the country are home to a moral movement that seeks to reverse centuries of historic wrongs.

This movement is led by students forced to live with the legacy of sexism, with the threat, and sometimes the experience, of sexual assault. It is led by students whose lives have been marred by racism and bigotry. It is led by people who want to secure equal rights for gays, lesbians and other historically marginalized groups.

These students are driven by noble impulses to do justice and identify oppression. They want to not only crack down on exploitation and discrimination, but also eradicate the cultural environment that tolerates these things. They want to police social norms so that hurtful comments are no longer tolerated and so that real bigotry is given no tacit support. Of course, at some level, they are right. Callous statements in the mainstream can lead to hostile behavior on the edge. That’s why we don’t tolerate Holocaust denial.

But when you witness how this movement is actually being felt on campus, you can’t help noticing that it sometimes slides into a form of zealotry. If you read the website of the group FIRE, which defends free speech on campus, if you read Kirsten Powers’s book, “The Silencing,” if you read Judith Shulevitz’s essay “In College and Hiding From Scary Ideas” that was published in The Times in Sunday Review on March 22, you come across tales of professors whose lives are ruined because they made innocent remarks; you see speech codes that inhibit free expression; you see reputations unfairly scarred by charges of racism and sexism.

The problem is that the campus activists have moral fervor, but don’t always have settled philosophies to restrain the fervor of their emotions. Settled philosophies are meant to (but obviously don’t always) instill a limiting sense of humility, a deference to the complexity and multifaceted nature of reality. But many of today’s activists are forced to rely on a relatively simple social theory.

According to this theory, the dividing lines between good and evil are starkly clear. The essential conflict is between the traumatized purity of the victim and the verbal violence of the oppressor.

According to this theory, the ultimate source of authority is not some hard-to-understand truth. It is everybody’s personal feelings. A crime occurs when someone feels a hurt triggered, or when someone feels disagreed with or “unsafe.” In the Shulevitz piece, a Brown student retreats from a campus debate to a safe room because she “was feeling bombarded by a lot of viewpoints that really go against” her dearly and closely held beliefs.

Today’s campus activists are not only going after actual acts of discrimination — which is admirable. They are also going after incorrect thought — impiety and blasphemy. They are going after people for simply failing to show sufficient deference to and respect for the etiquette they hold dear. They sometimes conflate ideas with actions and regard controversial ideas as forms of violence.

Some of their targets have been deliberately impious. Laura Kipnis is a feminist film professor at Northwestern University who wrote a provocative piece on sexual mores on campus that was published in February. She was hit with two Title IX charges on the grounds, without evidence, that her words might have a “chilling effect” on those who might need to report sexual assaults.

Other targets of this crusade had no idea what they were getting into. A student at George Washington wrote an essay on the pre-Nazi history of the swastika. A professor at Brandeis mentioned a historic slur against Hispanics in order to criticize it. The scholar Wendy Kaminer mentioned the N-word at a Smith College alumni event in a clearly nonracist discussion of euphemism and free speech.

All of these people were targeted for purging merely for bringing unacceptable words into the public square. As Powers describes it in “The Silencing,” Kaminer was accused of racial violence and hate speech. The university president was pilloried for tolerating an environment that had been made “hostile” and “unsafe.”

We’re now in a position in which the students and the professors and peers they target are talking past each other. The students feeling others don’t understand the trauma they’ve survived; the professors feeling as though they are victims in a modern Salem witch trial. Everybody walks on egg shells.

There will always be moral fervor on campus. Right now that moral fervor is structured by those who seek the innocent purity of the vulnerable victim. Another and more mature moral fervor would be structured by the classic ideal of the worldly philosopher, by the desire to confront not hide from what you fear, but to engage the complexity of the world, and to know that sometimes the way to wisdom involves hurt feelings, tolerating difference and facing hard truths.

The Campus Crusaders - NYTimes.com

http://www.nytimes.com/2015/06/02/opinion/david-brooks-the-campus-crusaders.html?emc=edit_th_20150602&nl=todaysheadlines&nlid=63020495

vendredi 8 mai 2015

Le point de vue d’OVH.com sur la loi renseignement

Le point de vue d’OVH.com sur la loi renseignement

Hier mardi 5 mai, les députés ont voté l’adoption de la loi renseignement par 438 voix pour et 86 contre. En attendant la suite du processus législatif, Octave Klaba, fondateur et Chairman d’OVH, revient en détail sur les conséquences réelles de cette loi, pour les hébergeurs, les FAI et leurs clients.

OVH a menacé de s’exiler hors de France, si la loi renseignement était adoptée. La loi vient d’être votée par l’Assemblée nationale. Qu’allez-vous faire maintenant ?

Je souhaite d’abord m’exprimer sur la loi elle-même. Cette loi n’est pas bonne pour notre pays. Pourquoi ?

Parce qu’elle va changer nos comportements, notre manière de vivre au quotidien, notamment lorsqu’on utilise les téléphones et l’Internet. Nous allons avoir le sentiment d’être sur écoute constamment et cela va créer une psychose dans la population. Manuel Valls le Premier ministre disait « Nous sommes en guerre », et effectivement avec la loi renseignement, le stress vient d’être transmis à l’ensemble du pays. En bref, si le gouvernement voulait que la population se sente menacée, c’est réussi. Très rapidement et automatiquement, nous allons intégrer les mécanismes de l’autocensure.

Je pense qu’au contraire, le rôle du gouvernement est de gérer le pays et ses problématiques sans que cela ait un impact sur la population, sans provoquer un changement de nos comportements, sans modifier les habitudes, sans modifier nos libertés acquises ou notre manière de vivre au quotidien. Le gouvernement a décidé de nous lier tous à cet état d’urgence terroriste. C’est un fait. C’est un choix. Personne ne peut plus dire « moi dans mon village je me moque du terrorisme ».

63 % des Français pensent pourtant que cette loi n’est pas dérangeante parce qu’être écouté n’est pas grave quand on n’a rien à se reprocher. Quelles réflexions cela vous inspire-t-il ?

Nous vivons en démocratie. Le plus grand nombre décide pour le pays, les lois sont votées de manière démocratique par des personnes qui ont été élues et auxquelles nous avons décidé de donner le pouvoir. C’est dans ce type de système que nous avons choisi de vivre, il faut le respecter. Ceux qui ne sont pas contents, ceux qui veulent changer le système peuvent s’engager, créer de nouveaux partis politiques, participer à la vie publique et faire en sorte que ce genre de loi ne passe pas. C’est comme ça. Voilà.

Quelles sont les conséquences de cette loi pour les hébergeurs et les datacentres en France ?

OVH avec d’autres hébergeurs (AFHADS, Gandi, IDS, Ikoula, Lomaco, Online) ont alerté le gouvernement que si la loi renseignement passait telle quelle, elle serait extrêmement néfaste pour l’activité économique des datacentres en France. En effet, nous avons des clients qui ne sont pas uniquement français. Aussi notre activité se base sur la confiance que nos clients nous accordent en hébergeant leurs données dans nos datacentres.

Nous avons été invités par le gouvernement à discuter de la loi pendant deux jours. La première journée, il nous a été dit que les intérêts économiques ne primaient pas sur les problématiques antiterroristes. Le gouvernement ne voulait rien changer du tout.

Les choses ont évolué le lendemain et nous avons pu rédiger l’amendement pour l’activité d’hébergement. C’est a minima, c’est-à-dire que la loi n’allait pas être retirée et nous n’avons pas pu y inclure tout ce que nous voulions.

Mais la modification de la loi que nous avons obtenue nous permet aujourd’hui de dire que la loi est compatible avec les datacentres et l’activité d’hébergement.

Pourquoi la loi n’affecte-elle plus votre activité d’hébergeur en France ?

Habituellement c’est le juge qui demande de faire les écoutes. Il envoie une réquisition sur une cible précise et dans le cadre d’une enquête judiciaire. La loi renseignement permet d’effectuer les écoutes hors cadre juridique. Pour l’activité d’hébergeur, nous avons pu encadrer les conditions d’application de cette loi et réduire son champ d’action.

1) La loi s’applique uniquement dans le cadre de la lutte antiterroriste. Elle ne peut pas être appliquée pour d’autres cas, par exemple l’activisme politique. Uniquement pour les problématiques liées au terrorisme.

2) Les demandes doivent être ciblées et précises, comme dans le cadre d’une enquête judiciaire classique. On ne parle donc plus de boîtes noires installées au cœur des datacentres pour écouter toutes les communications, mais on parle d’une demande ciblée et limitée. Par exemple, on doit nous préciser l’IP ou l’e-mail qui doit être écouté. L’écoute est limitée dans le temps à 4 mois, renouvelables.

3) La demande ne peut porter que sur les métadonnées c’est à dire qui communique avec qui. Et donc la demande ne peut pas porter sur le contenu des communications elles-mêmes. Si la demande concerne une IP, les métadonnées consistent en une liste des IP qui se sont connectées sur l’IP écoutée. Si la demande est une boîte d’e-mail, les métadonnées sont une liste des adresses e-mails qui ont communiqué avec la boîte e-mail écoutée.

4) Comme dans le cadre d’une enquête judiciaire, la récupération des métadonnées doit être assurée par l’hébergeur lui-même. Il n’y a donc ni intervention d’une personne extérieure ni installation de boîtes noires au sein de datacentres.

5) L’exécution de la demande ne relève plus du cadre de l’urgence, c’est-à-dire qu’elle doit passer par une commission de contrôle qui doit donner son avis au préalable. Cela veut dire aussi que l’ensemble des documents partagés, les métadonnées, suivent des procédures strictes : tout est écrit et archivé, avec une traçabilité. L’ensemble de ces documents relève du secret Défense.

Donc, il n’y a pas de boîtes noires chez les hébergeurs ?

Non, chez les hébergeurs, il n’y a pas de boîtes noires. Précisons : lorsqu’on parle de boîtes noires, on parle d’écoute massive, permanente et totale. Ce n’est pas du tout le cas pour les hébergeurs.

Nous estimons que l’amendement que nous avons demandé ne règle pas l’ensemble des problèmes. Mais le champ d’application a été bien réduit.

Qu’en est-il pour les fournisseurs d’accès à Internet (FAI) ?

En plus d’être un hébergeur, OVH est aussi un fournisseur d’accès. Les deux activités utilisent deux réseaux séparés et isolés. Pour notre activité de fournisseur d’accès, nous sommes effectivement soumis à l’ensemble de la loi. C’est-à-dire qu’en tant que FAI, on pourra nous demander d’installer des boîtes noires sur notre réseau de FAI. La loi va, en effet, permettre de capter l’ensemble des échanges que la population effectue via les téléphones mobiles et Internet vers l’extérieur : vers les hébergeurs, vers Google, vers Facebook, vers tout.

Le FAI OVH a-t-il des boîtes noires ?

Non, nous n’en avons pas. Pas en tant qu’hébergeur, pas non plus en tant que FAI.

Par contre, techniquement parlant, lorsqu’on crée un réseau Internet, ce réseau passe par des NRA, par des bâtiments, par des villes et il est interconnecté à d’autres réseaux. Parfois, on utilise les réseaux tiers pour connecter nos équipements. Il est possible par exemple d’installer un coupleur sur une fibre optique et de copier, sans être vu, l’ensemble des informations qui passent par cette fibre. Techniquement parlant, on peut donc installer une boîte noire, en secret et à l’insu des fournisseurs d’accès.

Pour se prémunir il faut chiffrer les informations qui circulent entre les équipements avec par exemple la technologie MACsec. Ainsi, même si quelqu’un installe une boîte noire en secret, il ne pourra pas voir le contenu des échanges.

Il faut savoir aussi que, dans le cadre de la loi renseignement, si jamais les communications sont chiffrées par le gestionnaire du réseau, celui-ci pourra être obligé de fournir les clés de chiffrement aux équipes du Renseignement. En d’autres termes, le chiffrement permet d’éviter uniquement l’écoute passive à l’insu des FAI.

Le réseau FAI d’OVH est-il chiffré ?

Oui, mais pas en totalité. Aujourd’hui nous chiffrons une partie du réseau et progressivement nous allons installer le chiffrement sur l’ensemble de notre réseau, entre tous les routeurs et les switches pour éviter l’écoute passive à notre insu.

Finalement, que conseillez-vous à vos clients ?

D’abord, pour nos clients hébergement français et étrangers, il n’y a pas de changements, sauf si le client a une activité terroriste. En dehors de ce cas de figure, l’hébergement en France n’est pas impacté par la loi renseignement et tout continue comme avant.

Héberger les serveurs en dehors de la France n’évitera pas les écoutes chez les FAI français. Les visiteurs français de sites web passeront obligatoirement par ces FAI qui eux sont soumis à la loi renseignement. On peut bien sûr utiliser un VPN pour administrer son serveur mais on ne peut pas obliger 100% des visiteurs de sites web à utiliser un VPN juste pour consulter un site web.

C’est pourquoi OVH ne va pas arrêter ou réduire l’activité de ses datacentres en France. Nous allons poursuivre nos investissements prévus. Ceci dit, OVH a également un plan d’investissements pour la création de datacentres hors de France dans les 12 mois à venir : 3 nouveaux datacentres en Europe et 3 en dehors de l’Europe. L’annonce des pays et des lieux précis sera faite à l’OVH Summit.

Pour notre activité de FAI, nous travaillons sur notre box qui cache quelques bonnes surprises … je vous invite à suivre les annonces du Summit le 24 septembre prochain.

jeudi 12 mars 2015

Deux sociologues piègent une revue pour dénoncer la « junk science »

L’arme du crime est une revue, la scène, Internet. Dans le premier numéro de l’année de la revue de sociologie Sociétés, Manuel Quinon et Arnaud Saint-Martin publient, sous le pseudonyme Jean-Pierre Tremblay, un article consacré à l’Autolib’, le service parisien de voitures en libre-service. Ce texte, fondé sur « une enquête de terrain approfondie, elle-même couplée à une phénoménologie herméneutique consistante », entend montrer que la voiture de Bolloré est « un indicateur privilégié d’une dynamique macrosociale sous-jacente : soit le passage d’une épistémê “moderne” à une épistémê “postmoderne” ». La formulation est savante. Il n’empêche : l’article est un faux grossier. Un canular.

Lire aussi : L’Autolib’, révélatrice de la sociologie postmoderne

C’est aussi une bombe atomique lâchée sur un bout de territoire de la sociologie. Dans un texte posté sur Internet le 7 mars, après que Sociétés est sortie, les deux farceurs vendent la mèche. Leur but est de « secouer la sociologie de sa torpeur », en démontant de l’intérieur « la fumisterie de ce que nous appellerons le “maffesolisme”….

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/education/article/2015/03/10/la-revue-societes-piegee-par-deux-sociologues_4590914_1473685.html#GBe4g81pEE5DMR3V.99

lundi 8 décembre 2014

We Can’t Trust Uber - NYTimes.com

 

We Can’t Trust Uber

UBER, the popular car-service app that allows you to hail a cab from your smartphone, shows your assigned car as a moving dot on a map as it makes its way toward you. It’s reassuring, especially as you wait on a rainy street corner.

Less reassuring, though, was the apparent threat from a senior vice president of Uber to spend “a million dollars” looking into the personal lives of journalists who wrote critically about Uber. The problem wasn’t just that a representative of a powerful corporation was contemplating opposition research on reporters; the problem was that Uber already had sensitive data on journalists who used it for rides.

Buzzfeed reported that one of Uber’s executives had already looked up without permission rides taken by one of its own journalists. And according to The Washington Post, the company was so lax about such sensitive data that it even allowed a job applicant to view people’s rides, including those of a family member of a prominent politician. (The app is popular with members of Congress, among others.)

After the Uber executive’s statements, many took note of a 2012 post on the company’s blog that boasted of how Uber had tracked the rides of users who went somewhere other than home on Friday or Saturday nights, and left from the same address the next morning. It identified these “rides of glory” as potential one-night stands. (The blog post was later removed.)

Uber had just told all its users that if they were having an affair, it knew about it. Rides to Planned Parenthood? Regular rides to a cancer hospital? Interviews at a rival company? Uber knows about them, too.

Uber isn’t alone. Numerous companies, from social media sites like Facebook to dating sites like OKCupid, make it their business to track what we do, whom we know and what our typical behaviors and preferences are. OKCupid unashamedly announced that it experimented on its users, sometimes matching them with incompatible dates, just to see what happened.

The data collection gets more extensive at every turn. Facebook is updating its terms of service as of Jan. 1. They state in clearer terms that Facebook will be tracking your location (unless you disable it), vacuuming up data that other people provide about you and even contacts from your phone’s address book (if you sync it to your account) — important provisions many of Facebook’s 1.35 billion users may not even notice when they click “accept.”

We use these apps and websites because of their benefits. We discover new music, restaurants and movies; we meet new friends and reconnect with old ones; we trade goods and services. The paradox of this situation is that while we gain from digital connectivity, the accompanying invasion into our private lives makes our personal data ripe for abuse — revealing things we thought we had not even disclosed.

The retailer Target, for example, started sending coupons for baby gear to customers who, sales data told them, were likely to be pregnant. Researchers in Cambridge, England, found that merely knowing a Facebook user’s likes was enough to predict attributes such as gender, race, sexual orientation, political party, potential drug use and personality traits — even if the user had shared none of that information.

Facebook says that it conducts not one but “over a thousand experiments each day,” and a former Facebook data scientist recently revealed that “experiments are run on every user at some point.”….

Read the whole article here We Can’t Trust Uber - NYTimes.com

http://www.nytimes.com/2014/12/08/opinion/we-cant-trust-uber.html?emc=edit_th_20141208&nl=todaysheadlines&nlid=63020495

vendredi 17 octobre 2014

Every day, a small Ant arrives at work ...

Every day, a small Ant arrives at work very early and starts work immediately.

She produces a lot and she was happy.

The Chief, a Tiger, was surprised to see that the Ant was working without supervision.

He thought if the Ant can produce so much without supervision, wouldn’t she produce even more if she had a supervisor!

So he recruited a Bee who had extensive experience as supervisor and who was famous for writing excellent reports.

The Bee’s first decision was to set up a clocking in attendance system.

He also needed a secretary to help him write and type his reports and he recruited a Rabbit , who managed the archives and monitored all phone calls.

The Tiger was delighted with the Bee's reports and asked him to produce graphs to describe production rates and to analyse trends, so that he could use them for presentations at Board‘s meetings.

So the Bee had to buy a new computer and a Laser printer and recruited a Cat to manage the IT department.

The Ant, who had once been so productive and relaxed, hated this new plethora of paperwork and meetings which used up most of her time…!

The Tiger came to the conclusion that it was high time to nominate a person in charge of the department where the Ant worked.

The position was given to the Monkey, whose first decision was to buy an Air Conditioner and an ergonomic chair for his office.

The new person in charge, the Monkey, also needed a computer and a personal assistant , who he brought from his previous department, to help him prepare a Work and 'Budget Control Strategic Optimisation Plan' …

The Department where the Ant works is now a sad place, where nobody laughs anymore and everybody has become upset...

It was at that time that the Bee convinced the boss, the Tiger; of the absolute necessity to start a climatic study of the environment .

Having reviewed the charges for running the Ant’s department , the Tiger found out that the Production was much less than before.

So he recruited the Owl, a prestigious and renowned consultant to carry out an audit and suggest solutions.

The Owl spent three months in the department and came up with an enormous report, in several volumes, that concluded...

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“ The Department is overstaffed ...”

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Guess who the Tiger fires first?

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Of course, the Ant.........,

 

 

 

"....because she showed lack of motivation and had a negative attitude. "

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"The Characters in this fable are fictitious; any resemblance to real people or facts within your Corporation is pure coincidence only…"

 

http://www.linkedin.com/today/post/article/20141013141231-20259771-a-corporate-story?trk=eml-b2_content_ecosystem_digest-recommended_articles-95-null&midToken=AQGhCA3LtvJQjg&fromEmail=fromEmail&ut=0gX-VWrERJv6s1